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Concernant la gestion des méningiomes de grade 2 sans récidive après une exérèse chirurgicale complète, les recommandations actuelles de l'ANSM et des autorités de santé françaises préconisent une approche de surveillance active plutôt qu'une intervention thérapeutique systématique. Malheureusement, dans mon cas, le Dr Fauchon a jugé plus opportun et surtout plus interessant pour lui d'initier une radiothérapie, malgré les recommandations de l'ANSM. Cette décision précipitée a entraîné des nécroses avec épilepsies et a nécessité une réintervention chirurgicale en urgence quelques mois plus tard. Cela démontre que le protocole recommandé par l'ANSM, qui stipule une surveillance active, était le choix approprié. (c'éait aussi le mien, mais je n'ai pas été écouté.
Les recommandations de l'ANSM et des autorités de santé soulignent l'importance de la surveillance par IRM.
Une surveillance régulière est conseillée après une exérèse complète d'un méningiome de grade 2, en l'absence de récidive. L'IRM constitue l'examen privilégié pour détecter toute évolution ou récidive éventuelle. Par ailleurs, il est précisé qu'aucun traitement systématique ne doit être administré en l'absence de signes cliniques ou radiologiques de récidive. Cela correspondait exactement à ma situation en 2016, où je ne présentais pas de signes cliniques et étais en bonne santé. J'avais expressément demandé au Dr Fauchon de différer une intervention de trois mois, mais il a catégoriquement refusé, ayant déjà pris un rendez-vous pour un traitement dès le lendemain matin. Il est également recommandé d'effectuer des consultations régulières avec un neurochirurgien ou un neuro-oncologue afin d'évaluer l'évolution de la situation et d'ajuster la surveillance en fonction des résultats des examens. Ces recommandations visent à prévenir des traitements superflus et potentiellement nuisibles, tout en assurant une surveillance appropriée pour déceler toute récidive à un stade précoce. Il est crucial de discuter de votre situation personnelle avec votre médecin traitant ou votre spécialiste, qui sera en mesure de vous fournir des conseils adaptés à votre état de santé.
L'ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) est l'autorité française
Les labos et autres cliniques tels font ce qu'ils venlent c'est la sécu qui paie de toute façon. . . .
Ils n'en auront jamais assez
En 2022, le budget de l’ANSM s’élevait à 142,4 millions d’euros, en 2025 il doit être d'environ150.000 d'euro
Les fonds attribués sont principalement dédiés au financement des réseaux de vigilance relatifs aux produits de santé, tels que la pharmacovigilance, l’hémovigilance et l’addictovigilance. Il apparaît clairement, dans mon cas, que la vigilance n'a pas été scrupuleusement observée. L'ensemble des ressources engagées semble avoir été négligé par certains praticiens.
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