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Méningiome grade 2 survvie
En raison de mon expérience personnelle, je suis convaincu que la survie des patients repose largement sur la qualité de l'équipe médicale. Concernant l'espérance de vie des patients atteints d'un méningiome de grade 2, il est crucial de prendre en compte l'état de santé général. Avant ma consultation avec le Dr Fauchon, mes antécédents de santé étaient exemplaires. L'intervention du Professeur Fontaine a été remarquable, ayant effectué une exérèse complète de mon méningiome sans laisser de résidu tumoral, et a également éradiqué mes crises d'épilepsie. Toutefois, il est évident que cette situation n'est pas universelle dans tous les établissements, en particulier ceux spécialisés en radiothérapie, qui ont ainsi perdu un patient potentiel, tel que le groupe médical Kantys.
Par ailleurs, le Dr Fauchon a employé des techniques de persuasion dignes des meilleures pratiques en marketing médical pour me convaincre de suivre une radiothérapie considérée comme superflue, malgré l'absence de récidive et alors que je maintenais un excellent état de santé. Cette approche soulève des questions pertinentes, car elle va à l'encontre des recommandations de l'ANSM, qui préconise de permettre au patient de mener une vie sereine dans de telles conditions, compte tenu de son état asymptomatique. Il me semble que le le Dr Fauchon (agent commecial Seignor du CHE de Nice) aurait préféré un cas de glioblastome, mais j'ai certes été confronté à un méningiome de grade 2, manifestement moins avantageux financièrement pour le CHE de nice. Pour ma part, il est indéniable qu'un oncologue moins motivé par des considérations financières m'aurait permis d'éviter une seconde opération moins d'un an après l'intervention initiale, pour retirer des nécroses résultant d'une radiothérapie jugée inutile. L'ANSM privilégie un suivi régulier dans de tels cas. Lors de notre dernier entretien il y a deux ans, le Dr Fauchon a proposé une radiothérapie supplémentaire, en dépit de son caractère discuté, financée par la sécurité sociale. Si j'avais accepté, je ne serais pas en mesure de partager mon expérience actuelle ; cela fait maintenant dix ans que je survis, malgré des traitements jugés inutiles, que j'attribue à une intervention chirurgicale prématurée pour traiter des radio-nécroses causées par la radiothérapie. J'ai par la suite dû suivre des séances d'oxygénothérapie hyperbare pour traiter des nécroses trop risquées à enlever chirurgicalement, qui ont provoqué des crises d'épilepsie postérieures. Avant cela, j'étais en excellente santé et, dans mon état, j'aurais pu attendre une éventuelle récidive, qui pour un méningiome de grade 2 ne survient pas dans 50 % des cas au cours des dix années suivant l'opération. En tant que patient atteint de cette pathologie, je réitère que la survie dépend principalement de l'équipe soignante. Il est à noter que ma tumeur a évolué en grade 3 en 2021, probablement en raison des traitements par radiation administrés en l'absence de cible, me conduisant depuis à refuser toutes offres de radiothérapie. Je me tourne désormais vers des essais cliniques et expérimentaux. Je ne recommande pas nécessairement cette voie à autrui, je partage simplement les faits, n'étant pas médecin. Je souhaite ardemment que vous trouviez un oncologue empathique qui s'engagera véritablement à prendre soin de vous, même si cela implique un moindre profit pour lui. Bien que mon expérience ait été malheureuse, je reste persuadé qu'il existe de nombreux médecins dévoués, et je vous souhaite de les rencontrer, le DR CLAREN par exemple, dans mon cas apres la 3dme opération ne m a pas peoposé de radiothérapie, me disant qu'il n'y avait pas de cible, elle m'a dit : "Nous n'allons pas gaspiller une cartouche"
Le docteur Fauchon lui souhaitait au plus tôt me refaire une irrediation de la zone du cerveau, même en l'absence de récidive, et en sachant que j'étais sujet aux radionécroses. . .
