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Sécurité sociale
Déficit de la Sécurité Sociale
il y zen a qui cherchent ou passe le déficit de catte pauvre sécurité sociale, Ne cherchez plus et regrdez les gens faire la queue pour des examens médicaux inutile dans les labos et autree CHE . . . Quand c'est pour guérire encore ça va mais dans mon cas et j'ai pu en salle d'attente des IRM avoir aussi été irradier inutilement que pour l'argent $$$$$$, c'est trop visible, regardez mon experience avec ce bon Dr Fauchon de Nice.
Une générosité contre productive
En effet la générosité de la sécurité sociale agit contre le malade, en remboursant trop facilement elle incite certains medecins peux scrupuleux à faire des acts inutiles, voirdangereux pour leurs patients.
Un patien guéri ne rapporte plus rien
Voila pourquoi certains docteurs et autres laboatoirs n' ont aucun interêt à soigner leur client, mais à lui prodiguer des soins jusquà la mort de celui ci.
Et il faudrait en plus les remercier !

Sécurité sociale vs cupidité des docteurs
La générosité de la sécurité sociale serait parfaite dans un monde idéal, mais la medecine est trop cupide, et les docteurs préfèrent facturer des traitements inutiles et dangereux que chercher de nouveaux soins moins rémunérateurs.
Manque de controle
Les medecins savent bien lorsqu'ils soignent un cancer que c'estt open bar aux niveau des frais et quils peuvent facturr nimporte quoi pourvu que le client garde son cancer le plus longtemps possible.
SECURITÉ SOCIALE
Dans mon cas, le Dr Fauchon a opposé un refus catégorique à ma demande de bénéficier d’un été en pleine santé. Il a exercé une pression considérable, en dérogeant aux recommandations de l’AFM, qui stipulent clairement :
1/ Concernant les méningiomes de grade II (atypiques) sans récidive, la stratégie de prise en charge doit reposer sur une surveillance clinique et radiologique rigoureuse, en raison du risque élevé de récidive associé à ce type de tumeur.
Surveillance post-chirurgicale
Après une résection chirurgicale complète d’un méningiome de grade II, il est impératif d’effectuer un suivi régulier par IRM. Les recommandations préconisent des examens tous les 6 à 24 mois, en fonction des caractéristiques individuelles du patient et de la localisation tumorale. Ce suivi est crucial pour détecter précocement toute récidive ou progression de la maladie.
Le Dr Fauchon a exprimé le souhait de me soumettre à des traitements par radiothérapie, jugés à la fois superflus et potentiellement dangereux, moins de trois mois après une intervention chirurgicale réussie qui m'avait rendu complètement asymptomatique et en bonne santé. Malgré l’ANSM (agence française du medicament)ayant recommandé un simple suivi pour un patient asymptomatique, j’ai été confronté à une démarche contraire de la part du médecin, comprenant des motivations qui semblent davantage liées à des intérêts personnels ou institutionnels que médicaux.
Rôle de l'ANSM :
L'ANSM est responsable en France de :
L’évaluation, l’autorisation, la surveillance et le contrôle des médicaments, vaccins, dispositifs médicaux (ex. : prothèses, implants).
La pharmacovigilance (suivi des effets indésirables des médicaments).
Le retrait ou la suspension de médicaments si des risques sont identifiés.
Ce que disent les recommandations (EANO / SFNC) :
En cas de résection complète d’un méningiome de grade 2, la radiothérapie peut être différée et utilisée uniquement en cas de récidive.
Si la résection est incomplète, la radiothérapie adjuvante est souvent recommandée d’emblée.
✅ En résumé :
Être en pleine forme ne suffit pas à éviter ou justifier une radiothérapie. La décision repose sur l’analyse précise du dossier médical, notamment le compte rendu opératoire, les résultats anatomopathologiques et l’avis de la RCP (Réunion de Concertation Pluridisciplinaire).
Mais toutes ces préconisations ne pesent pas lourd
face à la cupidité de certains praticiens. . .
l’EANO et la SFNC, deux instances majeures dans le domaine de la neuro-oncologie :
🇪🇺 EANO – European Association of Neuro-Oncology
➤ Qu’est-ce que c’est ?
L’EANO est la société savante européenne qui élabore les recommandations de référence pour la prise en charge des tumeurs cérébrales (dont les méningiomes, glioblastomes, astrocytomes, etc.).
➤ Que fait l’EANO ?
Publie des guidelines (recommandations cliniques) basées sur les dernières données scientifiques.
Organise des congrès internationaux.
Encourage la collaboration entre chercheurs, neurologues, neurochirurgiens, oncologues, radiothérapeutes, etc.
➤ Importance :
Les recommandations de l’EANO sont largement suivies dans toute l’Europe, notamment en France, pour standardiser les traitements et la surveillance des patients atteints de tumeurs cérébrales.
🇫🇷 SFNC – Société Française de Neurochirurgie
➤ Qu’est-ce que c’est ?
La SFNC est la société savante française qui regroupe les neurochirurgiens exerçant en France.
➤ Que fait la SFNC ?
Diffuse des recommandations de bonnes pratiques en neurochirurgie.
Organise des formations continues et congrès nationaux.
Participe à la rédaction de protocoles de prise en charge en lien avec les CHU, les centres de lutte contre le cancer, etc.

Certains medecins
Certains medecins sont de réels vendeurs, ce que je peux comprendre mais pas en mettant en danger la santé même de leurs clients

Dédicite de la sécurité sociale en FRANCE
Ne soyons pas naifs et regardons les soins inutiles . . .

En finir avec les abus
Comme le disait mon medecin, en parlant des cliniques labos, et autres pharmacies
"Ils n'en ont jamais assez",
la sécurité sociale bientot n défaut de paiement !
Petit calcul de mon méningiomede grade 2 soigné par le docteur Fauchon
VS
Cout de mon ménigiome soigné par mes propres recherches.
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Estimation des couts des soins proferés par les oncologues
Février 2015 : Exérèse efficace de mon méningiome,
coût de 50 000 €.
Quelques mois plus tard : traitement par radiothérapie, hâtif et sans efficacité, coût de 20 000 €.
En 2016 : apparition d'une radionécrose, conséquence de l'intervention précipitée du Dr Fauchon au Centre Hospitalier de haute energie de Nice.
Cela a entraîné de nouvelles épilepsies et une hospitalisations préalable à une nouvelle opération du cerveau pour l'élimination des radio-nécroses cervicales, cette fois réalisée en février 2016,
avec un coût pour la Sécurité sociale d'environ 50 000 €. Subséquemment, de nouvelles épilepsies sont survenues, et un traitement hyperbare a permis d'éliminer définitivement les nécroses. Cependant, cinq ans plus tard, une récidive de grade 3 s'est manifestée, selon mon constat, imputable aux séances d'irradiation inutiles prescrites par des oncologues peu scrupuleux. Une nouvelle facture de 100 000 € a été générée pour des interventions chirurgicales largement évitables si le Dr Fauchon n'avait pas mal interprété une IRM. À cela s'ajoutent encore 50 000 € de frais de transport, d'hospitalisation et de caisson hyperbare. . .
totalisant près de 300 000 € pour un résultat déplorable, mon méningiome ayant évolué de grade 2 à grade 3. Leconstat est amer puisque ma santé s'est considérablement détériorée. alors que ne rien faire du tout aurait été bien mieux pour moi et pbeaucoup mois rentbles pour les labos et autres groupes finenciers comme le groupe kantys qui prefere soigner son bilan que ses clients.

Cout pour la sécu depuis que je ne fais plus confiance en ce systeme
Je souhaite porter à votre attention que j'ai récemment décliné deux approches radiothérapeutiques, ainsi qu'une cinquième intervention chirurgicale sur le cerveau.
Depuis trois années, je cohabite, tant bien que mal, avec un méningiome de grade 3, sans souffrir d'épilepsie liée aux radionécroses.
Il convient de noter que ma qualité de vie est supérieure en gérant moi-même mon méningiome de grade 3, par rapport à l'attitude thérapeutique appliquée à mon méningiome de grade 2, qui était sous la supervision du Dr Fauchon.
Dans cette situation, il semble que les véritables perdants à par soient les laboratoires ainsi que les centres de radiothérapie. Il est à signaler que le coût a été nul pour la sécu. De manière fortuite, j’apprends ce matin que la Cour des comptes envisage un déficit de paiement de la sécurité sociale d'ici 2027. quelqu'un va enfin devoir ciffler la fin de la récré !
Tout ceci ne serait pas grave si les docteurs et autres labos essayaient vraiement de soigner leurs patients