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L immunothérapie Dendritique est une immunothérapie contre les cellules cancreuses faisant appel aux cellules dendritiques. qui sont presentent dans le sang et font partie des cellules du système immunitaire.
Elleset sont impliquées dans le déclenchement des réponses immunitaires, et sont capables de reconnaître les pathogènes afind'y induire des réponses immunitaires en activant les lymphocytes T spécifiques à ces pathogènes.
L'immunothérapie dendritique est une approche thérapeutique innovante qui vise à stimuler le système immunitaire du patient pour qu’il reconnaisse et attaque spécifiquement les cellules tumorales. Dans le cas des méningiomes, qui sont des tumeurs généralement bénignes mais parfois agressives des méninges (les membranes entourant le cerveau et la moelle épinière), cette stratégie peut être envisagée, surtout lorsque la tumeur est récurrente ou résistante aux traitements classiques (chirurgie, radiothérapie).
Qu’est-ce que l’immunothérapie dendritique ?
Elle repose sur l’utilisation des cellules dendritiques, des cellules du système immunitaire qui jouent un rôle clé dans la présentation des antigènes (substances étrangères) aux lymphocytes T, déclenchant ainsi une réponse immunitaire.
Étapes générales de l’immunothérapie dendritique :
Prélèvement des cellules immunitaires du patient (souvent à partir du sang).
Différenciation en cellules dendritiques en laboratoire.
Chargement des cellules dendritiques avec des antigènes tumoraux, qui peuvent provenir :
d’un échantillon de la tumeur du patient (méningiome),
ou de peptides/protéines tumorales connues.
Injection des cellules dendritiques modifiées dans le patient, dans le but d'activer les lymphocytes T contre la tumeur.
Objectif :
Amener le système immunitaire à reconnaître les cellules du méningiome comme anormales et à les détruire, limitant ainsi la croissance tumorale ou la récidive.
Avantages potentiels :
Traitement personnalisé.
Moins d’effets secondaires que la chimiothérapie.
Peut compléter les traitements classiques.
Limites actuelles :
Encore en phase expérimentale pour les méningiomes (surtout pour les formes malignes ou atypiques).
Complexité de la production.
Nécessité de mieux identifier les antigènes spécifiques des méningiomes.
Pourquoi je vais devoir faire appel à l'immunothérapie dendritique
En situation de blocage thérapeutique, comme le mentionnent avec tact les professionnels de santé, il ne me reste que les essais cliniques, qui demeurent extrêmement rares pour les méningiomes, ainsi que les techniques émergentes non encore approuvées par la FDA, tel que les immunothérapies cellulaires ou dendritiques.
Le défi majeur réside dans le fait que ces traitements ne bénéficient pas d'un remboursement par la sécurité sociale, ce qui soulève une question éthique considérable, surtout lorsque l'on observe comment notre système de santé consacre des millions d'euros à des soins qui semblent uniquement destinés à gonfler les profits des cliniques privées, même si ces soins peuvent parfois s'avérer nuisibles pour des patients comme vous et moi, la cours des compte prevoit d'zilleur qu'à ce rythme la sécurité sociale devrait être en bientôt en défaut de paiement. Tant que ces traitements sont remboursables, l'accès est octroyé. Il est donc regrettable que tous les soins innovants n'ayant pas encore reçu l'aval de la FDA ou de l'ANSM – l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé en France – soient laissés de côté. Si vous avez les moyens de vous engager dans ces soins, tant mieux pour vous ; sinon, il faudra composer avec cette réalité. Je n'ai pas identifié de laboratoire ou de clinique en France s'intéressant à ces innovations, car il n'y a pas de rentabilité à tirer.
Heureusement, à l'échelle européenne, l'Allemagne semble avoir une avance dans ce domaine. Il ne me reste plus qu'à patienter 15 à 20 ans en espérant que les immunothérapies dendritiques reçoivent l'approbation de l'ANSM. Malheureusement, je ne ispose ps de ce délai. En attendant, les laboratoires et les groupes financiers tels que le groupe Kantys poursuivent leurs activités, irradiant sans scrupules, même au préjudice de la santé de leurs clients, tant que la sécurité sociale ne met pas fin à ce cycle, ce qui est inévitable compte tenu du déficit colossal auquel la France fait face.
Il est certain que ces milliards d'euro seraient mieux utillisés si ilz étaient inveti dans la recherche, c'est la double peine pour la France, qui laisse l'Allemange prendre le lead, tout en gaspillant cet argent quand même dans des soins inutiles et dans certains cas nuisible pour les patients.
En conséquence, je ne compte pas rester inactif, dès que l'occasion se présentera, j'envisage de me diriger vers une clinique privée en Allemagne pour tenter une immunothérapie dendritique, dont le coût est comparable à celui d'une radiothérapie, mais sans les effets secondaires, tels que les nécroses radio-induites qui dans mon cas ont provoqué de nouvelles crises d’épilepsie, nécessitant une nouvelle intervention non pas pour traiter une récidive de méningiome, mais pour retirer les nécroses induites par un traitement qui m'a été imposé alors que j'étais en parfaite santé.
Si seulement j'avais eu la possibilité de m'informer davantage à l'époque, lorsque l'accès à des outils comme ChatGPT était inexistant ; le seul conseil proposé par l’ANSM à ce moment-là était une simple surveillance active . . . .
Actuellement, étant donné l'évolution lente de mon méningiome, je ne fais rien d'autre qu'une surveillance par IRM tous les trois mois. Néanmoins, je suis conscient que cette situation ne pourra perdurer indéfiniment et que je devrai rapidement élaborer un plan B.
1/ L’immunothérapie dendritique, qui semble offrir un traitement sans effets secondaires et à un coût raisonnable, environ le cout que va couter une rzadiothérapie à la sécurité sociale, mais sans les potentiels effet secondaaires, comme les nécroses qui risquent d'entraîner d'autres interventions chirurgicales. En résumé, c'est toujours la sécurité sociale qui finance tant qu'elle en a la capacité. Ce fut toujours ainsi, comme en témoigne l'attitude de certains médecins, , qui privilégie la radiothérapie, peut-être en raison de son affiliation avec une clinique spécialisée dans ce domaine.
2/ Un virus oncologique administré directement dans la tumeur via un réservoir Ommaya : cette approche paraît prometteuse, ayant montré des résultats favorables sur les glioblastomes, mais elle n’a pas encore reçu de validation de la sécurité sociale pour l'ensemble des cancers, bien que des avancées commencent à se manifester pour certaines pathologies répandues. Suivi par une immunothérapie cellulaire pour compléter l'impact du virus oncologique. . .
Mais pour l'instant mon méningiome de grade 3, traité suivant mon propre protocole, semble moins agressif qu'un meningiome de grade 2 soigné par le docteur Fauchon
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Les nouveaux espoirs des immunothérapies, dendrétique, cellulaire et autre . . .
Je compte tester une immunothérapie dendritique sur mon méningiome de grade 3, des qu'il évolue un peux trop.
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