Dans mon cas, une épilepsie a conduit à la découverte d'un méningiome de grade 2 en 2015. Cet examen a été suivi d'une intervention chirurgicale réussie en 2016, réalisée par le professeur Fontaine à l'hôpital Pasteur de Nice. L'opération a permis d'éliminer complètement la tumeur, ne laissant aucune trace sur l'IRM, à l'exception d'uun léger voildu  à l'intervention. L'analyse histologique a classé ce méningiome comme un méningiome atypique de grade 2, donc non cancéreux. Avec ces résultats en main, j'ai consulté l'oncologue, le Dr Fauchon, oncologue au Centre Hospitalier de Nice, situé à proximité de l'hôpital. Dès notre première rencontre, en dépit de ne pas avoir eu l'occasion de discuter en détail de mon dossier après les salutations, il m'a immédiatement demandé de revenir le lendemain matin pour un "mask". N'étant pas familier avec cette terminologie, il souhaitait en réalité procéder de manière urgente à une radiothérapie, supposant une possible récidive et une malignité du méningiome, ce qui lui semblait urgent. J'ai tenté de lui faire part de mes préoccupations concernant sa précipitation, mais ces efforts ont été vains. Il était impératif à ses yeux que je reçoive ce traitement, me laissant peu de choix que d'accepter sa proposition, ce qui s'est avéré être une regrettable erreur. Malheureusement, cette décision a conduit à une aggravation de ma condition, avec l'apparition d'épisodes d'épilepsie fréquents. Par conséquent, j'ai dû subir une nouvelle intervention chirurgicale un an plus tard, en raison des nécroses résultant de la radiothérapie. Le professeur Fontaine a réalisé l'exérèse d'une grande partie des lésions tout en épargnant au maximum la zone motrice. Malgré cela, j'ai continué à éprouver des crises d'épilepsie causées par de petites nécroses plus profondes. Le professeur Fontaine m'a alors orienté vers un traitement en caisson hyperbare, ce qui a finalement permis d'éliminer ces symptômes persistant. Je dois également souligner que le Dr Fauchon avait disparu de la circulation. J'ai tenté de le contacter à trois reprises par téléphone, mais il ne m'a jamais rappelé, manifestant ainsi un désintérêt pour l'évolution de mon dossier. Pour faire court, il savait tres bien je ne pouvai plus rien lui rapporter.